lundi 27 avril 2020

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JOUR 42 (lundi 27 avril 2020).


Au sommaire de ce numéro


Il est né un 27 avril :

Jean-Jacques COLIN

Nous lui souhaitons un joyeux anniversaire.


Ephéméride : ça s’est passé un 27 avril (Marc Acquaert)

-       Naissances : Arielle Dombasle, de son vrai nom Arielle Laure Maxime Sonnery, est née le 27 avril 19533 à Hartford (Connecticut) ;
Anouk Aimée, de son vrai nom Nicole Dreyfus est née le 27 avril 1932 à Paris.

-       Décès : Jean Bart, en flamand Jan Bart ou Jan Baert, est décédé le 27 avril 1702 à Dunkerque ; Mstislav Leopoldovitch Rostropovitch est décédé le 27 avril 2007 à Moscou ;
Micheline Dax,  de son vrai nom Micheline Etevenon, est décédée le 27 avril 20141 à Roinville-sous-Dourdan.


-         Evènement : 27 avril 1848 : Abolition de l'esclavage en France.

Le 27 avril 1848, le gouvernement de la République française publie un décret par lequel il abolit l'esclavage dans les colonies françaises. L'abolition concerne avant tout les vieilles colonies héritées de l'Ancien Régime, dont l'économie repose encore sur les grandes plantations sucrières.

-       C’est sa fête : Zita. Zita est née au XIIIe siècle, à Lucques, en Italie. Sixième enfant d'une famille pauvre, elle est ainsi nommée d'après la sixième lettre de l'alphabet grec (zêta). Toute sa vie, elle sert comme domestique sans oublier ses devoirs de chrétienne ce qui lui vaut d'être devenue la sainte patronne des gens de maison.   


-        Séquence poésie

Un poème sur le printemps (Alain Bringard) C’est à lire ici
Un moment de poésie en vidéo (Philippe Lechipre) C’est à regarder et écouter par là

S’évader sans sortir (Jean-Luc Gorrias)

Masque anthropomorphe Angbaï

Ce masque est le plus connu des masques des Toma. Les Toma, établis entre la Guinée et le Libéria, seraient les inventeurs du rituel du Poro, apparu au XVIème siècle


Visite virtuelle des Nymphéas | Musée de l'Orangerie

Le Google Art Project offre la possibilité d'accéder depuis chez soi à des collections permanentes d’institutions culturelles du monde entier. La plateforme propose à l’internaute de déambuler virtuellement dans les deux salles ovales des Nymphéas, conçues par Claude Monet entre 1915 et 1926 à Giverny, et aussi, grâce à la fonction de zoom, de s’immerger dans l’ensemble des huit compositions monumentales du maître impressionniste.


La visite virtuelle du musée Van Gogh d’Amsterdam

Ce musée abrite la plus grande collection d’œuvres d’art de Vincent van Gogh au monde. Sa collection permanente réunit en effet plus de 200 toiles, 500 dessins et plus de 750 lettres… exposés par rotation. On retrouve notamment ses tableaux Les mangeurs de pommes de terre (1885), La Chambre à coucher (1888), Les Tournesols (1889), Iris (1890) ou encore Amandier en fleurs (1890). Ces chefs-d’œuvre postimpressionnistes sont à (re)découvrir via la plateforme Google Arts & Culture et nous donnent l’occasion d’en apprendre un peu plus sur cet artiste incompris de son vivant.



Puccini par André Rieux et Amira (Léon Cousaert)


Dans tous les genres et pour tous les goûts (Monique Lepoutre)






Rappels historiques (Michel Robaeys)

Voici quelques faits des années 1500 : 

 En ces temps-là, les maisons avaient des toits en paille, parfois même la maison n'était qu'un toit. C'était le seul endroit où les animaux pouvaient se tenir au chaud. C'est donc là que vivaient les chats et les petits animaux (souris et autres bestioles nuisibles), dans le toit. Lorsqu'il pleuvait, celui-ci devenait glissant et il arrivait que les animaux glissent hors de la paille et tombent du toit. D'où l'expression anglaise "It's raining cats and dogs" ("Il pleut des chats et des chiens").

Pour la même raison, aucun obstacle n'empêchait les objets ou les bestioles de tomber dans la maison. C'était un vrai problème dans les chambres à coucher où les bestioles et déjections de toute sorte s'entendaient à gâter la literie. C'est pourquoi on finit par munir les lits de grands piliers afin de tendre par-dessus une toile qui offrait un semblant de protection. Ainsi est né l'usage du ciel de lit. Bien évidemment, les plus pauvres devaient s'en passer...

 À cette époque, on cuisinait dans un grand chaudron perpétuellement suspendu au-dessus du feu. Chaque jour, on allumait celui-ci, et l'on ajoutait des ingrédients au contenu du chaudron. On mangeait le plus souvent des légumes, et peu de viande. On mangeait ce pot-au-feu le soir et laissait les restes dans le chaudron. Celui-ci se refroidissait pendant la nuit et le cycle recommençait le lendemain. De la sorte, certains ingrédients restaient un bon bout de temps dans le chaudron...

Les plus fortunés pouvaient s'offrir des assiettes en étain. Mais les aliments à haut taux d'acidité avaient pour effet de faire migrer des particules de plomb dans la nourriture, ce qui menait souvent à un empoisonnement par le plomb (saturnisme) et il n'était pas rare qu'on en meure. C'était surtout fréquent avec les tomates ce qui explique que celles-ci aient été considérées pendant près de 400 ans comme toxiques.

Le pain était divisé selon le statut social. Les ouvriers en recevaient le fond carbonisé, la famille mangeait la mie et les hôtes recevaient la croûte supérieure, bien croquante.



Pour boire la bière ou le whisky, on utilisait des gobelets en plomb. Cette combinaison mettait fréquemment les buveurs dans le coma pour plusieurs jours !

 Et quand un ivrogne était trouvé dans la rue, il n'était pas rare qu'on entreprenne de lui faire sa toilette funèbre. Il restait ainsi plusieurs jours sur la table de la cuisine, où la famille s'assemblait pour boire un coup en attendant que l'olibrius revienne à la conscience : d'où l'habitude de la veillée mortuaire.

 La Grande-Bretagne est en fait petite et à cette époque, la population ne trouvait plus de places pour enterrer ses morts. Du coup, on déterra des cercueils et on les vida de leurs ossements qui furent stockés dans des bâtiments ad hoc afin de pouvoir réutiliser les tombes. Mais lorsqu'on entreprit de rouvrir ces cercueils, on s'aperçut que 4 % d'entre eux portaient des traces de griffures dans le fond, ce qui signifiait qu'on avait enterré là quelqu'un de vivant.

Dès lors, on prit l'habitude d'enrouler une cordelette au poignet du défunt reliée à une clochette à la surface du cimetière, et l'on posta quelqu'un toute la nuit dans les cimetières avec mission de prêter l'oreille. Et c'est ainsi que naquit là l'expression «sauvé par la clochette».

C'est une grenouille en marbre sculptée sur un bénitier à l'entrée de la cathédrale de Narbonne qui est à l'origine de l'expression imagée ‘’grenouille de bénitier’’. !!!!

Les bains de mer au 19ème siècle (Michel Honoré).


Au secours (Charles Boulenguez)


La légende de la crème chantilly (Philippe Lechipre)


On ne changera pas les hommes (Jean-Luc Gorrias)


Voltaire et les voleurs (Michel Honoré)


Etes-vous un érudit ? (Monique Bostyn)


Les deux océans (Michel Honoré)

Le point extraordinaire où se rejoignent l’Océan Atlantique et l’Océan Pacifique, sans se mélanger ! Saviez-vous que les deux océans ne se mélangent pas ? Ce phénomène se voit dans le Golfe d’Alaska. Et pourquoi ces eaux ne se mélangent pas ? Parce qu’il y a une énorme différence de salinité entre l’eau claire qui provient de la fonte des glaciers, qui est fraîche et pauvre en sel, tandis que l’eau du second océan a une forte concentration en sel. Par conséquent, les deux océans ont des densités différentes, ce qui les rend presque impossible de se mélanger.


Des envies de visiter la Bretagne ? Suivez le drône… (Jean-Luc Gorrias)

Aujourd’hui :

Sensation Bretagne    http://vimeo.com/83587675

Saint Armel (Presqu'ile de Rhuys)   http://vimeo.com/75210844

Mieux vaut en rire qu’en pleurer.

Blagues en vidéos pour surmonter le confinement et le Covid-19


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