JOUR 16 (mercredi
1er avril 2020).
Cher.es ami.es,
Merci !!!
Un grand merci à toutes celles et ceux qui, par leurs
contributions, ont permis d’alimenter notre blog et ainsi de continuer à
« faire vivre l’ARIC ». Je tiens particulièrement à vous remercier
pour vos propositions variées qui permettent de maintenir le lien entre nous
dans une période particulièrement difficile.
C’est toutefois une nouvelle quinzaine de confinement
qui commence et, sans doute, cela commence à devenir une épreuve. Il importe
donc, et plus que jamais, de pouvoir conserver des relations sociales et de
maintenir un esprit de solidarité. Aussi, merci de continuer à apporter vos
contributions en espérant que d’autres rejoindront le mouvement.
Je souhaite que nous puissions continuer à rester
solidaires.
Amitiés.
Chantal Chanu
Au sommaire de ce numéro
Aucun anniversaire à souhaiter en ce 1er
avril
Cours d’informatique pour seniors (Jean-Luc Gorrias)
Le lien fourni
hier était invalide.
A voir et écouter
à l’adresse :
Dernière minute au pays des contes (Laurence
Lechipre)
Suite à l’épidémie de coronavirus, les sept nains de
Blanche-Neige ne sont plus que six.
Ils ont viré Atchoum !
N’oubliez pas Youtube (Nelly Verlinde)
N'oubliez pas qu'avec
"Youtube" vous avez accès à des tas de spectacles enregistrés il y a
.... longtemps ou tout récemment. (quasiment toutes les archives de l'INA) Que
ce soit des chanteurs de variétés anciens ou récents, des opéras ou opérettes -
complètes ou des extraits - des pièces de boulevard comme celles d'Au théâtre
ce soir ou proposées par les comiques actuels. Youtube est accessible tant sur
les PC. qu'avec la télé.
Une visite majestueuse (Monique Lepoutre)
A voir à l’adresse : https://drive.google.com/open?id=13G0awhty1dfZghgf2Tcc6PnwZXMV_MYf
Comment ça va ? (Laurence Lechipre)
Covid-19, façon Raymond Devos (Jean-Luc Gorrias)
PRENDRE
SON DESTIN EN MAIN
Parmi
les différentes mesures prises pour lutter contre l’épidémie du coronavirus, il
est demandé de ne pas se serrer la main. Par contre, il est possible – et c’est
même recommandé – de se serrer les coudes. Il ne faut donc plus tendre la main,
ne plus faire des pieds et des mains, seulement des appels du pied afin de
garder les mains libres. Si vous êtes à la tête d’une association et que vous
vouliez vous retirer, impossible de passer la main ; certes, il reste la
solution de vous faire sortir à coups de pied dans l’arrière-train mais ce
n’est pas très élégant et l’on peut très vite en venir aux mains. Pour les
amoureux qui ont le cœur sur la main il est illusoire de le donner, ni même de
le partager : les mariages vont tomber en désuétude car plus personne ne fera
une démarche pour demander la main de l’être aimé.
Autre
conséquence grave pour la démocratie : désormais la politique de la main tendue
est vouée à l’échec, être pris la main dans le sac sera moins grave que de
donner un coup de main.
Bien
sûr, la main gauche doit ignorer ce que fait la main droite mais si elle a
donné de l’argent de la main à la main, il sera nécessaire de lui passer un
savon.
C’est dans la tribulation qu’il convient d’être fort,
l’épidémie génère un sentiment de peur ; la solution ? S’en laver les mains et
prendre son courage à deux mains, surtout en mains propres.
Voyage dans le temps (Monique Lepoputre)
Cliquez
sur une photo de 1944 et vous voilà transporté en 2019. Retournez 75 ans en
arrière en un seul clic. Fascinant !
Faites
défiler les photos vers le bas … une par une …
Touchez
la photo de guerre, vous la verrez telle qu'elle est
aujourd’hui.
Il s'agit d'une utilisation incroyable de la technologie. Comment voyager dans le temps !
Cliquez sur chaque photo, sur la photographie originale; elle devient une photo exactement au même emplacement, mais aujourd'hui.
Il s'agit d'une utilisation incroyable de la technologie. Comment voyager dans le temps !
Cliquez sur chaque photo, sur la photographie originale; elle devient une photo exactement au même emplacement, mais aujourd'hui.
Fascinant !
Cliquez ici :
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Une histoire de cambriolage (Monique
Lepoutre)
Un homme a été cambriolé. Le lendemain, le
commissariat le prévient qu'on a arrêté le voleur et le convoque. L'homme
demande au policier :
- Puis-je
parler au voleur ?
- Pour lui
dire quoi ?
- Écoutez, Monsieur le commissaire, il a pénétré
chez moi à 2 heures du matin sans réveiller ma femme. S'il m'explique comment
il s'y est pris, je retire ma plainte.
L’énigme du jour (Philippe
Lechipre)
La solution de
l’énigme N° 2 Le soufre de Satan
Enigme N° 3 : Les cartes sans suite
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